Le vendredi dernier plusieurs jeunes dont une femme ont été mis aux arrêts dans le quartier Gbangana dans la commune urbaine de Nzérékoré par les agents de force sécurité. Ces jeunes sont majoritairement originaire de la haute et Basse-Guinée la seule personne qui vient de la région-forestière, c’est la seule dame qui préparait pour eux, elle vient de Bounouma l’une des sous-préfectures de Nzérékoré. Quatre jours après cette vague d’arrestation de ces 71 jeunes, dont figure parmi eux des mineurs et des étudiants. Ces jeunes auraient confié qu’ils travailleraient au compte de la société nommée ‘’infinity Minenial’’ qui a les mêmes modes d’opérations de vente que la société QNET, dont ces activités ont été interdite sur le sol guinéen. Cette information a été confirmée par un responsable des forces de Nzérékoré.
« Cela fait au moins plusieurs semaines que la plupart de ces jeunes ont été dispersés dans les quartiers de la ville de Nzérékoré ; Ces jeunes viennent des autres régions à part la seule femme qui préparait pour eux qui vient de Nzérékoré. Les citoyens de certains de ces quartiers de Nzérékoré reprochaient à ces jeunes d’être les trafiquants d’enfants, et des délinquants. Après des enquêtes nous avons constaté que ces jeunes ne sont pas des délinquants comme prétendait les citoyens. Ces jeunes ont été composés des mineurs et des étudiants par faute de logement. Ces personnes, mis aux arrêts par les citoyens et les agents de sécurité après les enquêtes on a constaté que ces jeunes travailleraient au compte de la société ’infinity Minenial’’. Ces personnes vendent des bijoux contre la foudre et tant d’autres bijoux » a expliqué ce responsable.
A l’en croire notre interlocuteur sous l’anonymat 48heures ont été données à ces jeunes de quitter leurs concessions de Nzérékoré et rejoindre leurs régions habituelle ‘’Après avoir remonté l’information au niveau de la hiérarchie, nos chefs nous ont confié de faire notre mieux comme c’est nous qui sommes sur le terrain. Après consultation du maire et les chefs des quartiers, on a jugé nécessaire de donner 48 heures à ces jeunes de libérer les maisons qu’ils occupaient et de rejoindre leurs régions d’origines.’’ A laissé entendre cet officier.
Jean Mamy pour La Guineeconstat.Com