Face ce qu’il considèrecommeune attaquecontre la libertéd’expression le secrétairegénéralduSPPG indique que (Quand vous êtes face à l’oppression on attend pas son autorisation)
A l’entame de son intervention sur FIM FM le secrétaire général du syndicat des professionnels de la presse de Guinée (sppg) a laissé entendre que leur est grave pour la presse guinéenne.
«L’heure est grave, il que la presse guinéenne prenne son destin en main, il faut qu’on se lève pour défendre la liberté de la presse guinéenne. C’est un engagement pris par tout journaliste digne de ce nom depuis la charte d’éthique et la déontologie des journalistes, c’est le texte fondateur de notre métier.ce texte qui a créé cette belle corporation,dit que si vous êtes un journaliste digne de son, je parle pas des journalistes qui sont venus dans ce métier par effraction, tu dois défendre la liberté de la presse face à n’importe quel danger. » a rappelé sékou djamal pendessa.
Poursuivant, le camarade est revenu sur quelques agression commises par des hommes en uniforme contre des journalistes guinéens.
« Ce jour là, malheureusement, des journalistes ont été encore agressé, injurié menasse sur le terrain. Ce qui es pire, des éléments du Bata sont allés jusqu’à pointé des armes sur des journalistes. Abdourahmane Bah, correspondant du TV5 monde c’est ce qui lui est t’arrivé. Le 20 octobre 2022, c’est encore les éléments du Bata qui avait ramasser Amadou djouldé Diallo de cityFM, déposer au camp Alpha Yaya Diallo pendant qu’il couvrait aussi une manifestation du FNDC, Mohamed Bangoura de mosaïque. Cette fois ci encore c’est le même Bata qui vient dans une manifestation qui doit être encadré par la gendarmerie et la police, et s’attaqué aux journalistes. Ce jour là avant l’heure arrivé avec les journalistes, aucun homme de médias n’était inquièté, au contraire ils se sentait plutôt en sécurité avec ces agents. Mais dès que les éléments de Bata son venus, ils ont semé la panique, ils ont pris même la carte mémoire de la caméra d’Abdouhamane Tv5» a déploré le secrétaire général de syndicat des professionnels de la presse de Guinée Skou djamal pendessa avant de dire être près son ambition de défendre les journalistes
«Nous avons publié un chronogramme aujourd’hui pour déclencher une série action, ça va commencer par une marche anti Charles Wright, c’est comme ça on a appelé. Dès lundi on va déposer le courrier d’information à la mairie de caloume pour annoncer notre marche le jeudi prochain. Il faut que ça soit clair c’est une information, Charles est entrain de violer la loi contre nous, si la mairie se permet d’interdire, nous on va marcher ça se négocie même pas. On attend pas l’autorisation de la mairie on infrme pour encadrer professionnellement la marche. Il se permet d’interdire on viendra , ils vont nous prendre tous. Quand vous êtes face à l’oppression on attend pas son autorisation. Je préfère qu’on me transporte comme on l’avait fait samory Touré emprisonné que de me plier à des injonctions aussi ilegal de Charles Wright.» a menacer Dans mirador
Soul Condé guineeconstat.com