« depuis le petit matin, j’étais sur les pas de ces militaires. Arrivé au niveau du rond-point Missiran, j’ai vu des citoyens qui étaient entrain de se faire arrêter par un groupe de militaires juste pour avoir faire des images. Ainsi j’ai fais des images. C’est quand j’étais sur le point de me retourner qu’un militaire m’a suivi. Il m’a arrêté et m’a demandé de lui remettre mon appareil. Chose que j’ai refusé. C’est ainsi qu’il m’a conduit dans un isoloir au commissariat central où j’ai trouvé d’autres citoyens qui venaient de se faire arrêter aussi. Quelques minutes après, un haut gradé m’a trouvé assis parmi les détenus. Il m’a reconnu à travers mon gilet et a demandé à ce qu’on me libère. C’est ainsi qu’ils mon libéré.» a expliqué notre correspondant basé dans la région.